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Les européennes du dimanche 9 juin ne cessent de faire crépiter les claviers ! Mercredi 12 juin à 19 heures, la place du Maréchal-Foch, près de la gare, à Arras a été le théâtre d’une manifestation politique. Elle a été dirigée par les Forces de gauche de la région. 400 participants se sont rassemblés près de la gare. Ils se sont déplacés pour exprimer leurs revendications et leur engagement, en faveur « d’une société plus juste et égalitaire« .

L’ambiance sur la place arrageoise était électrique. L’atmosphère était marquée par un mélange de passion, de détermination et d’espoir. Les manifestants brandissaient des banderoles colorées. Ils scandaient des slogans, appelant au changement et à la solidarité. Musique engagée et discours enflammés, ont contribué à créer une atmosphère de mobilisation contagieuse.

Trois manifestants se sont exprimés sur NORPRESS.FR :

  1. Sophie, étudiante engagée, Lens :
    « Pour moi, cette manifestation représente un moyen de faire entendre notre voix et de lutter contre les injustices. Il est important de montrer notre unité et notre détermination face à des politiques. Ils ne répondent pas aux besoins de la population !« 
  2. Marc, retraité syndicaliste, Arras :
    « Cette mobilisation est cruciale. Il s’agit de rappeler, aux autorités, notre demande d’une meilleure protection sociale et de conditions de travail décentes. Il est temps de faire entendre nos revendications. Il faut maintenir la pression pour que des changements concrets soient opérés. »
  3. Claire, militante associative, Béthune :
    « Je suis impressionnée par la diversité des gens qui participent à cette manifestation, ce soir, à Arras. Cela montre que les idées de solidarité et d’égalité sont partagées par beaucoup. Il est essentiel de continuer à se mobiliser ensemble pour construire une société plus juste et inclusive.« 

Cette manifestation politique des forces de gauche à Arras, s’est voulue une démonstration de solidarité et de volonté de changement. Les participants ont montré leur engagement en faveur de valeurs telles : égalité ; justice sociale et solidarité. « 0n a voulu faire de cet événement un moment fort de mobilisation citoyenne« , a expliqué André, syndicaliste de gauche, depuis 1995.

Européennes, climat, migrants…

D’autres manifestants ont exprimé leur soutien à diverses causes. Notamment en faveur de la lutte contre le changement climatique ; la défense des droits des travailleurs ; la promotion de l’égalité des genres et la solidarité envers les migrants. La diversité des revendications souligne l’importance de l’engagement citoyen et de la mobilisation collective « pour construire une société plus juste et plus inclusive« .

Jean-Marie Le Pen et ses filles il y a presque quarante ans.

La présence de jeunes ; actifs ; retraités ; militants associatifs et syndicalistes, témoigne de la diversité des profils impliqués dans cette manifestation. Tous réunis pour exprimer leurs préoccupations et leur volonté de transformer la société, ils ont formé un front uni et déterminé, face aux défis actuels.

« Injustices et inégalités« 

Les discours prononcés lors de la manifestation ont mis en lumière « les injustices et les inégalités qui persistent dans notre société« . Des actions concrètes à entreprendre pour les combattre ont été envisagées. L’appel à la solidarité, à la mobilisation citoyenne et à la convergence des luttes, a été au cœur des interventions. « Il est important de s’unir pour faire avancer des causes communes dans les Hauts-de-France et dans le reste du pays« , a-t-on entendu.

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La manifestation politique des forces de gauche à Arras a-t-elle réussi son pari ? Être un moment de rassemblement ; de partage et de solidarité. Au-delà de la simple présence sur la place du Maréchal-Foch, cet événement a symbolisé l’engagement citoyen et la volonté de changement.

Cette démonstaration de force a donné aux participants l’espoir et la confiance en un avenir meilleur et plus juste pour tous. Reste que 400 manifestants contre le RN, c’est tout de même bien loin des 3.000 protestataires contre la réforme des retraites, l’an dernier au même endroit. Selon le vieil adage, « Qui vivra verra« …

Frédéric Pinchon

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