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ARRAS
? La ville emblématique du Nord de la France a, dernièrement, accueilli un établissement gastronomique : Le Chochois.
? Inauguré en 2022, l’endroit s’est vite distingué par une cuisine raffinée. Hélas on y est fort mal reçu.

Situé au cœur de la cité, sur la grande place, Maison Chochois se démarque par son design élégant, mariant contemporain et traditionnel. L’intérieur, baigné de lumière, crée une atmosphère de prime abord sympathique. L’atmosphère invite les convives à s’immerger dans une nouvelle expérience culinaire. En effet, le restaurant est aussi propriétaire de la boucherie du dessus qui l’alimente.

Le chef, Pierre Chochois, maître en cuisine française, façonne des plats où créativité et qualité sont à l’honneur. La carte, évolue au fil des saisons. Elle révèle une passion pour les produits locaux et les saveurs authentiques.

Voyage gustatif

Le menu dégustation offre un voyage gustatif inoubliable. Il met en avant la finesse des techniques culinaires et l’équilibre des saveurs. Chaque plat se veut être une œuvre d’art, mariant textures et arômes avec précision.

Les caves du maison Chochois sont réaménagées en salles de restauration.
Le lieu est original mais l’accueil est déplorable (photo Frédéric Pinchon).

Le succès du Maison Chochois repose également sur sa cave à vins bien garnie. Elle offre des accords parfaits pour sublimer chaque plat. Le sommelier guide les convives dans un voyage oenologique qui complète l’expérience gastronomique.

Maison Chochois incarne la quintessence de la gastronomie française contemporaine. Entre cuisine d’exception, ambiance raffinée et service impeccable, ce restaurant promet une expérience culinaire mémorable, confirmant ainsi sa place parmi les incontournables d’Arras. Certes.

Mauvais accueil au Chochois

Quel dommage que l’on y soit aussi mal accueilli ! Surtout pour un premier essai. Outre un service médiocre, la patronne prend le Client de haut à la moindre remarque. C’est, notamment, le cas quand le serveur refuse la promotion « Deux ou trois plats », un jour de semaine. Prétexte : c’est le mois de décembre. Pourtant, sur le menu, cette condition n’apparait pas. Il est juste mentionné que l’option n’est pas servie les week-ends mais pas pendant les fêtes !

C’est donc une publicité mensongère et une infraction caractérisée à la loi (1). L’attitude de la patronne, prise en flagrant délit de mensonge, ne donne pas envie de revenir : « Nous on est des commerçants. on est là pour vendre« . Même pas un café en dédommagement du préjudice causé. Dont acte.

(1) Article 1103 du Code civil : « Le contrat (NDLR : le menu) légalement formé tient lieu de loi à ceux qui l’ont fait. »

Frédéric Pinchon

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